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LES BRAISES,ALORS

Voilà. J’ai commencé à parler de « De ça je me console ». la journée a commencé par l’émission d’Alain Veinstein sur France Culture (ça sera diffusé le vendredi 31 août) et après, c’était une interview presse.

Tous deux parlent du doute, présent dans tout le roman, de l’importance de rester « indéfinie ».
On parle de Roumanie, des pères qui meurent, de Pierre Goldman, on parle de la peur de n’être « rien » qui se transforme en force, Rien comme un espace.
On parle de se sentir étrangère, à son époque, sa génération

Et bien que ça soit moi qui devait parler, je les ai écoutés et je vais emprunter à un journaliste une de ses phrases: « une fièvre », c’était… la fièvre (…) et « de ça je me console » c’est la braise.
J’ai envie de détailler, commenter, questionner « de ça je me console » avec vous, mais vu qu’il n’est en librairie que depuis aujourd’hui, ça serait certainement un monologue pour le moment.
Alors je pars.
à bientôt

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