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DU STRIP A L’ENVERS (de rien)

Deux nouvelles surprenantes hier soir, dans mes mails.
le premier m’annonce qu’un des chansons de « grandir à l’envers de rien » sert de bande-son à un numéro de strip dans une boîte « glamour » (?!) parisienne.
je vais sur le site de la dite boîte et je me retrouve sur Mars.

Des types comparent la technique et les fesses des strip teaseuses, ça je m’y attendais.
Mais le côté, euh, technique de tout ce qu’ils peuvent faire avec les filles, de jusqu’où ils peuvent aller (sans que ça tombe sous le coup de l’hypocrite loi de l’endroit…), c’est instructif.On n’a plus le droit de fumer mais on peut mettre ses doigts où on veut du moment qu’on s’achète le corps qu’on utilise.

Je serais strip teaseuse par là bas, je danserais sur Drôle de Rage et à la fin, je terminerai le spectacle avec un happening tout à fait inventif, avec un
P 38.

Le deuxième mail provient d’une jeune femme qui me couvre d’abord de compliments, et elle termine avec ce regret: « je te pardonne même de coucher avec Christian Olivier, ce que tout le monde sait »
Très difficile de lui répondre, puisqu’elle sait déjà ce que moi je ne sais pas.

A part ça, je vais apporter à Flammarion mon texte roman récit (je ne sais jamais comment appeller ces choses là) dans quelques heures.
C’est absurde, mais après une année passée en monde clos avec toutes les personnes les lieux de cette histoire, j’éprouve une petite nostalgie de lui lâcher la main à ce texte.
à bientôt
lola

Bookmarquez le permalien.

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