Lola merci pour cette « semaine » que nous avons bu comme du petit lait. Nous en parlons autour de nous (dans notre lettre d’info et sur la page d’accueil du site de Bagdam).
un bel été à toi.
Les bagdames
bonjour,
Un jour, j’écoutais sur France-culture, une émission sur la chanson Française dans laquelle vous parliez de l’engagement. Je suis allée chercher votre livre dans les heures qui ont suivies et j’en ai été bouleversée. Etonnant, comme la perception de la rage peut être forte.
Saviez-vous que l’ irondelle est le symbole d’ Athéna, la déesse de la justice (entre autre) et qu’elle est finalement très présente entre tous ces oiseaux qui tissent votre roman.
Dans la semaine sur Libé, j’ai retrouvé beaucoup d’extraits de votre roman (avec beaucoup de plaisir) mais j’ai aussi regretté qu’il n’y ait si peu de prises avec l’actualité de la semaine.
Merci pour votre colère et votre talent. La liberté est une lutte de chaque
seconde.
et cela fait du bien au bruissement du monde.
Bonjour Lola,
Je viens de lire ta chronique dans Libération « une semaine de l’écrivain-e »; Je suis très touchée par tes mots si beaux et si justes. J’ai donc très envie de me procurer tes livres et aussi peut-être d’échanger avec toi quelques pages de mon écriture car nous y avons en commun, il me semble, notre refus des évidences de ce monde.
Bises
Chantal
D’entendre, de lire, dans ce monde insensé , quelque chose qui résonnerait comme un peu d’amour, un amour dont l’espace serait la liberté.
Aussi vous écouter, parcourir vos mots, est d’un réconfort qui réconcilie avec l’avenir.
Si chacun se met simplement à vivre, à penser, alors n’importe quel pouvoir n’en a plus pour longtemps.
Car la question pourquoi je vis en automatisme, est juste derrière, dans les automatismes, il y a bien la vie q’on nous vole.
Merci Lola d’être simplement là, vivante, dans le même espace temps!
Lola merci pour cette « semaine » que nous avons bu comme du petit lait. Nous en parlons autour de nous (dans notre lettre d’info et sur la page d’accueil du site de Bagdam).
un bel été à toi.
Les bagdames
bonjour,
Un jour, j’écoutais sur France-culture, une émission sur la chanson Française dans laquelle vous parliez de l’engagement. Je suis allée chercher votre livre dans les heures qui ont suivies et j’en ai été bouleversée. Etonnant, comme la perception de la rage peut être forte.
Saviez-vous que l’ irondelle est le symbole d’ Athéna, la déesse de la justice (entre autre) et qu’elle est finalement très présente entre tous ces oiseaux qui tissent votre roman.
Dans la semaine sur Libé, j’ai retrouvé beaucoup d’extraits de votre roman (avec beaucoup de plaisir) mais j’ai aussi regretté qu’il n’y ait si peu de prises avec l’actualité de la semaine.
Merci pour votre colère et votre talent. La liberté est une lutte de chaque
seconde.
et cela fait du bien au bruissement du monde.
E.
Bonjour Lola,
Je viens de lire ta chronique dans Libération « une semaine de l’écrivain-e »; Je suis très touchée par tes mots si beaux et si justes. J’ai donc très envie de me procurer tes livres et aussi peut-être d’échanger avec toi quelques pages de mon écriture car nous y avons en commun, il me semble, notre refus des évidences de ce monde.
Bises
Chantal
Oui comme il est doux;
D’entendre, de lire, dans ce monde insensé , quelque chose qui résonnerait comme un peu d’amour, un amour dont l’espace serait la liberté.
Aussi vous écouter, parcourir vos mots, est d’un réconfort qui réconcilie avec l’avenir.
Si chacun se met simplement à vivre, à penser, alors n’importe quel pouvoir n’en a plus pour longtemps.
Car la question pourquoi je vis en automatisme, est juste derrière, dans les automatismes, il y a bien la vie q’on nous vole.
Merci Lola d’être simplement là, vivante, dans le même espace temps!
Bonjour Lola, je voudrais diffuser ce lien au site du monde : http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/08/30/des-deputes-ump-contestent-la-notion-d-identite-sexuelle-expliquee-par-certains-manuels-scolaires_1565493_3224.html
Merci beaucoup, à bientot à Strasbourg et Mulhouse
Ecrire dans Libé, c’est pas un peu perdre sa rage?